Les familles monoparentales sont de plus en plus nombreuses et accroissent la demande de logements, notamment des deux et trois-pièces.

En Corée du Sud, pays au plus faible taux de fécondité au monde, un patron d'entreprise de construction offre une prime de 70.000 euros à chacun de ses employés accueillant un enfant. Craignant une pénurie de main-d''uvre, il espère ainsi relancer la natalité.

De nombreuses familles monoparentales choisissent de se loger en périphérie de Paris. Si certains prix restent élevés, différentes solutions existent pour faciliter leur achat.

À Montpellier, ville la plus demandée de la région par les étudiants, ça s'active déjà pour trouver l'appart au meilleur prix. 

Fondée par Tara Heuzé-Sarmini et Ruben Petri en 2021, la première entreprise de coliving monoparental, Commune, est française et ouvrira une résidence en Ile de France fin 2023. Déjà des centaines de familles candidatent pour y vivre.

Les réactions du secteur ont déferlé après l'annonce de la composition du nouveau gouvernement, qui ne comprend pour l'heure ni ministre ni secrétaire d'Etat dédié au Logement. L'exécutif fait valoir que le logement fait partie intégrante des attributions de la ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires.

Le quinquennat d'Emmanuel Macron a été marqué par des coupes budgétaires, par la baisse de la construction et par une aide financière visant à éradiquer les passoires thermiques jugée insuffisante par l'institution d'aide aux mal-logés.

Lorsque l'on met à disposition un logement au profit d'un parent, aucune charge immobilière n'est alors déductible et aucune aide au logement ne peut être obtenue, explique dans sa chronique Olivier Rozenfeld, le président de Fidroit.

Instauré par la loi ALUR, ce dispositif oblige les propriétaires à demander une autorisation aux mairies avant de signer un bail. Plus de cent villes y ont recours aujourd'hui.

Une famille de la région parisienne avait acheté cette maison double pour loger à côté de ses parents et les soulager. Prévenus 8 mois avant la fin du bail, les locataires refusent de quitter les lieux et ne versent plus de loyer, forçant les retraités à camper chez leurs enfants et petits-enfants.

par Sarah Young LONDRES (Reuters) - Les compagnies aériennes, les agences de voyages, les touristes et bien des pays d'Europe du Sud attendent avec impatience de connaître le plan du Royaume-Uni pour relancer les voyages, mais seul un nombre limité de destinations seront déclarées sûres. Les destinations préférées des britanniques, dont l'Espagne et la Grèce continentales, ainsi que la France, risquent toutes d'être exclues de la liste verte des destinations ne nécessitant pas de mise en quarantaine, qui devrait être publiée vendredi. Après une année de restrictions, ce serait un coup dur pour les hauts lieux du tourisme, les compagnies aériennes et les agences de voyages qui attendent le retour des touristes britanniques, qui dépensent beaucoup.

Le logement est le premier poste de dépense d'un étudiant. Mais avec la crise et la disparition de quantité de petits boulots, beaucoup d'entre eux peinent à s'acquitter de cette charge.

Selon une étude de l'Insee publiée en 2016, un quart des familles franciliennes sont monoparentales. Choix du lieu de vie, charges à assumer seul' pour elles la question du logement n'est pas simple. Mais leur situation n'est pas un frein à un achat immobilier.